Question n°1
Concernant le test d’Ouchterlony :
Il permet de mettre en évidence la formation des complexes immuns.
Il est basé sur le principe de diffusion de molécules et des cellules dans un gel.
Les arcs de précipitation peuvent se former à mi-chemin entre deux puits périphériques.
Pour vérifier l’efficacité du test, on peut placer dans un puits périphérique des globules rouges de mouton et dans le puits opposé des anticorps anti-globules rouges de mouton.
Il est particulièrement utilisé pour détecter la séropositivité d’un sujet atteint du VIH.
Question n°2
Les adjuvants immunologiques sont :
Des molécules ayant une activité antigénique.
Indispensables pour tout vaccin.
Des activateurs des réactions non spécifiques.
Choisis par des méthodes empiriques.
Question n°3
Question n°4
L’incidence d’un cancer est :
L’indicateur qui permet d’estimer sa gravité.
Le paramètre qui permet d’évaluer la probabilité de le développer.
Le nombre de nouveaux cas par an.
La proportion de malades au sein d’une population.
Une donnée épidémiologique.
Question n°5
L’immunité innée :
Ne nécessite pas d’apprentissage au préalable.
Ne repose pas sur des mécanismes de reconnaissance spécifique.
Est présente dès la naissance.
Est génétiquement héritée.
Question n°6
Les antibiotiques peuvent agir :
En bloquant la transcription
En sélectionnant les bactéries résistantes.
En provoquant des mutations.
En empêchant l’élaboration de la paroi.
Question n°7
Quelles sont, parmi les molécules suivantes, celles qui entrent dans la constitution biochimique du VIH (Virus de l’Immunodéficience Humaine) ?
Des lipides.
De la thymine.
De l’uracile.
Une protéine appelée ARN polymérase utile pour la transcription des gènes viraux.
Une glycoprotéine, la gp120, constitutive de l’enveloppe du virus impliquée dans les mécanismes de reconnaissance entre le virus et sa cellule hôte.
Question n°8
Le tétanos est une maladie grave entraînant des contractures qui atteignent l’ensemble des muscles en quelques jours. La maladie est due à un bacille qui libère une toxine agissant sur les centres nerveux. Sur une personne susceptible d’avoir été contaminée, on procède à une injection de sérum contenant des anticorps spécifiques :
Le sérum injecté est capable de détruire la toxine bactérienne.
Le sérum injecté déclenche la fabrication d’anticorps par l’organisme du patient.
La protection assurée est immédiate et de longue durée
La protection assurée est immédiate et de courte durée.
La protection assurée n’est pas immédiate mais de longue durée.
Question n°9
La réponse inflammatoire peut devenir dangereuse au-delà d’un certain nombre de jours et elle sera à l’origine de symptômes inconfortables (douleur et fièvre) :
Au cours de cette réponse, les protéines membranaires des cellules lésées sont à l’origine de la production des prostaglandines.
On peut contrôler cette inflammation avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens comme les corticoïdes de synthèse.
Au cours de cette réponse, l’aspirine ou l’ibuprofène aident à contrôler l’inflammation.
Des mutations efficaces pouvant survenir sur les enzymes impliquées dans la voie métabolique de la production de prostaglandines peuvent bloquer cette production.
Question n°10
À propos du récepteur des lymphocytes B (BCR) :
Un clone de lymphocytes B regroupe les lymphocytes B qui possèdent des BCR reconnaissant un même épitope.
Le BCR est constitué de deux chaînes lourdes et de quatre chaînes légères.
Les extrémités des chaînes légères forment la partie variable.
Les extrémités des chaînes légères forment la partie constante.
Les BCR d’un même lymphocyte reconnaissent deux épitopes différents.
Question n°11
Le virus du SIDA est :
Le virus de l’immunodéficience humaine.
Un parasite endocellulaire obligatoire.
Un parasite des lymphocytes T CD8.
Transmis uniquement par voie sanguine.
Insensible aux antiseptiques classiques.
Question n°12
Les macrophages :
Sont des phagocytes.
Participent à l’immunité adaptative.
Sont des cellules présentatrices d’antigène.
Produisent de la perforine.
Sont issus de la différenciation des LB.
Question n°13
La réponse immunitaire adaptative :
Débute par une phase de prolifération clonale.
Se poursuit par une phase de prolifération.
Nécessite la coopération entre différentes cellules.
Met en jeu des lymphocytes
A lieu entièrement dans les organes lymphoïdes primaires.
Question n°14
Le phénotype immunitaire :
Est défini comme l’ensemble des LT et des lymphocytes B.
Évolue grâce aux vaccinations
Évolue au cours de la vie
Est le résultat d’une interaction complexe entre le génotype et l’environnement.
N’est pas modifié lors d’injection d’anticorps.
Question n°15
Les cellules mémoires :
Sont de trois types : les lymphocytes T mémoires, les lymphocytes B mémoires et les plasmocytes mémoires.
Ont une durée de vie supérieure à celles qui leur ont donné naissance.
Sont issues de lymphocytes activés
Interviennent rapidement lors d’un second contact avec l’antigène qui a induit leur formation.
Interviennent rapidement dès le premier contact avec un antigène.
Accès restreint aux membres.
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